(...) se rejoue, à travers tous ces conflits, ce que Warburg nommera le Nachleben, la "survivance" d'une instabilité déjà centrale à la culture classique elle-même et que Nietzsche, dans La Naissance de la tragédie, avait déjà bien repérée : c'est le conflit de l'"éthos apollinien" et du "pathos dionysiaque". "Le Quattrocento, conclut Warburg, savait apprécier cette double richesse de l'Antiquité païenne.
-Georges Didi-Huberman
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