D’où, par exemple, l’importance, comme le pointe Jackson Katz, de ne pas utiliser la voix passive qui efface la subjectivité de l’agresseur quand on parle de violence envers les femmes : ne pas dire que les femmes sont battues ; puisqu’elles sont battues par des hommes, dire que des hommes les battent. Ne pas dire que des femmes sont victimes d’agressions sexuelles ; dire que des hommes les ont agressées sexuellement. Et ainsi, faire porter aux hommes leur responsabilité.
-Martine Delvaux
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